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Définitions objectives et vision subjective du monde
Chaque mot a un sens précis, objectif, sur lequel nous devons être d’accord lorsque nous l’utilisons dans l’échange avec l’autre. Ce glossaire a pour but d’éclairer le néophyte, dans un langage de tous les jours, à propos des termes techniques usuels du champ psychologique, mais aussi sur des termes employés en biologie, écologie, sociologie et philosophie, qui constituent ma vision personnelle, subjective, du monde.

Certains mots se passent de commentaires : ils constituent des thèmes essentiels en psychothérapie.

Absence de sens (Cf. Sens).
Nous avons parfois le sentiment que la vie n’a pas de sens. C’est un thème philosophique fondamental. Chacun de nous cherche à donner un sens à sa vie, à poursuivre une mission. Cette mission peut elle-même prendre son sens dans la transmission familiale. Certains considèrent qu’il n’y a pas de sens particulier à donner à la vie : il suffit simplement de vivre.

Age.
Chaque âge de la vie apporte ses joies et ses peines. Dans la première partie de la vie, les troubles sont souvent liés à l’excès ; dans la seconde partie, ce sont les manques ou la mort qui questionnent l’individu.

Alcoolisme.
On parle beaucoup des alcooliques, on parle moins de l’industrie alcoolière, et de sa stratégie marketing redoutable. « 50 % de l’alcool est acheté par 8 % des consommateurs, qui correspondent exactement au pourcentage de gens qui souffrent d’alcoolisme ». L’industrie alcoolière dépend des alcooliques pour survivre !

Amour.

Angoisse.
C’est le moteur de la vie. En excès, elle devient une gène. Le questionnement porte entre autres sur la fréquence, l’intensité, et les manifestations corporelles.

Alliance thérapeutique.
Lorsque le « courant » passe entre un thérapeute et un patient, ce qui ne veut pas dire pour autant complicité ou contact facile : ce phénomène subtil permet au patient de travailler dans les meilleurs conditions.

Appel à la violence.
Un comportement subtil chez soi qui pousse l’autre à devenir violent. C’est une forme de violence. Le patient sera invité à quitter progressivement ce type de comportement, après en avoir compris les motivations.

Attachement.
Un concept essentiel en psychologie. A partir d’environ 6 mois, le début de la sécurité affective entre l’enfant et sa mère, qui conditionne les relations que l’individu adulte sera capable de nouer avec les autres.

Avoir.
Posséder apporte de la sécurité. La sécurité est un besoin fondamental. Posséder en excès devient maladif. C’est un des maux courants de notre société.

Bonheur.
Un des nombreux objectifs d’une psychothérapie réussie.

Colère.
Une émotion très animale, très saine, de défense, malheureusement réprimée socialement. Apprendre à exprimer sa colère sans détruire ou se détruire…

Compétition.
La vie adulte est vouée à la compétition : le lieu où l’on exerce une compétence, une affirmation de soi, et non un système destiné à détruire les individus. Cette vie adulte doit être préparée. L’individu doit pouvoir se retrouver seul (pour développer son univers créatif et spirituel), et se retrouver en couple. Un (seul), Deux (couple), Trois (groupe et compétition), partez !

Couple.

Culpabilité (Culpabilisation, Déculpabilisation, Déresponsabilisation).
Un sentiment très humain, mais aussi très néfaste et destructeur. Coupable ou responsable ? Notre société a tendance à nous déresponsabiliser (école, entreprise, consommation…) : la thérapie peut aider à retrouver ses responsabilités (se déculpabiliser : faire la part de responsabilité entre soi et autrui), et à les assumer.

Déni.
Chacun de nous est ombre et lumière. Chacun de nous possède une face cachée, une part d’ombre. En général, nous acceptons difficilement de voir cette part d’ombre. La thérapie permet d’éclairer les ténèbres, et de mieux accepter ses défauts.

Dépression.
La dépression est utile pour passer d’un état à un autre. Par exemple, elle est naturelle chez l’adolescent qui se transforme en profondeur. Si la dépression s’installe, il faut prendre le temps de la soigner. Certaines dépressions doivent être traitées par des médicaments et être suivies par un médecin. C’est une des étapes du deuil. La dépression, qui ne semble pas d’origine génétique, est sans doute liée à l’épigénétique ou à l’hérédité culturelle.

Deuil.
Le sens commun est celui de la mort d’un proche, qui peut durer entre 2 et 7 ans. Un sens nouveau est dû à Elisabeth Kübler-Ross, qui a mis en évidence les étapes du deuil : le fait de perdre quelque chose dans tout changement. La vie est parcourue de deuils. C’est ce qui en fait sa saveur (son sens).

Diagnostic.
La psychopathologie clinique permet de poser un diagnostic : à partir de symptômes observables, identifier une pathologie (maladie) référencée dans un catalogue (DSM IV). Cette approche permet dans les cas graves de s’entourer des précautions nécessaires, et de prescrire des médicaments utiles. Mais elle a aussi l’inconvénient d’enfermer la personne dans un rôle, alors que l’un des buts de la psychothérapie est justement de faire sortir des rôles prédéfinis. Nous savons par exemple qu’un handicapé vit mieux lorsque son entourage cesse de voir son handicap. Chaque être humain est un sujet, qui possède sa part de mystère. Un diagnostic est posé à un instant donné, il n’est jamais définitif, et ne doit en aucun cas entamer la part mystérieuse de l’être.

Émonctoires.
Les émonctoires sont les organes de nettoyage du corps : peau, poumons, foie, reins, intestins, qui maintiennent la santé et participent aux défenses immunitaires.

Epigénétique
L’épigénétique est le domaine qui étudie comment l’environnement et l’histoire individuelle influent sur l’expression des gènes, et plus précisément l’ensemble des modifications transmissibles d’une génération à l’autre. En clair, une chenille et son papillon ont exactement les mêmes gènes… Et pourtant !

Enfance.

Esthétique (Esthésie).
La capacité à percevoir par les sens. Les esthéticiennes font parfois l’équivalent du travail d’un psy, avec bon sens et pragmatisme : elles sont de bon conseil, peut-être parce qu’elles travaillent avec leurs perceptions.

Ethique.
Ce qui guide nos comportements : notre système de valeurs. Lorsque nous élaborons une éthique personnelle, nous sommes prêts à partager avec d’autres.

Etre.
Nous sommes. Il n’y a pas grand chose à faire de plus. Par contre, nous ne savons pas toujours très bien qui nous sommes. Ce verbe est plus difficile à comprendre que le verbe Avoir. Si la thérapie peut contribuer au « mieux-être », elle apprend surtout à être.

Excès (Cf. Manque).
La thérapie apporte le sens de la mesure : arrêter de se mettre une pression excessive (sur-activité ou objectifs irréalistes), savoir se protéger des sollicitations trop nombreuses (réduire l’intensité, la fréquence), assainir l’alimentation, la digestion, le travail des émonctoirs… Un excès peut cacher un manque. L’excès est visible, symptomatique, tandis que le manque est obscur, en creux, souvent inconscient.

Excitation.
Observons-nous dans une soirée : c’est l’occasion de rechercher toutes les excitations possibles : nourriture abondante et plaisante, café, thé, tabac, lumière, mouvement, sons, attraction sexuelle, ivresse de l’alcool ou des drogues… L’excitation nous est nécessaire : elle donne une intensité, une saveur. Mais la dépression n’est pas loin, un lendemain de cuite par exemple. Apprenons à reconnaitre et à doser nos moments d’excitation. Une excitation chronique peut être maladive, et constituer une forme de fuite.

Famille.

Force.
Une qualité recherchée : affirmation de soi, capacité à tenir des engagements…

Impatience.
Dans une société de la vitesse, nous avons une tendance naturelle à vouloir accélérer les rythmes naturels. Nous vivons souvent dans une excitation inutile. L’impatience est une de ces formes d’excitation.

Liberté (Cf. Responsabilité).

Manque (Cf. Excès).
Certaines demandes sont liées au manque : solitude, rejet, vie sans saveur, nostalgie du passé, de l’enfance, d’une relation perdue, deuil… Le manque est aussi parfois ce qui se cache derrière l’excès : créativité ou spiritualité empêchée, manque de liberté ou d’autonomie…

Mère.
La mère apporte les soins (ressources) à ses enfants : nourriture, affection, propreté, santé… Elle est responsable de la qualité de l’attachement. Chaque mère fait du mieux qu’elle peut.

Morale.
La morale est nécessaire. L’éthique va au-delà.

Morbidité.
Ce qui tend vers la mort, la maladie. La vie est imparfaite.

Mort.
Toutes les sociétés traditionnelles font de la mort un sujet central. Il y a bien une raison à cela. Ce n’est pas parce qu’ils se complaisent dans la morbidité, mais au contraire, parce qu’ils ont compris que l’individu doit faire face toute sa vie à cette contrainte naturelle non négociable. Malheureusement, notre société occidentale a relégué la mort au rang d’une vieillerie inutile, comme une mauvaise nouvelle qui nous embarrasse, et gâche la fête commerciale. La peur de la mort va chez certain jusqu’à la phobie.
La mort est aussi devenue un spectacle, mis à distance : la télévision nous montre des pauvres lointains alignés au sol. Ouf, ce n’est pas chez nous !
Nous avons un travail énorme de reconquête de la mort, individuellement et socialement : reprenons l’habitude de nous rendre aux enterrements, pour y pleurer sincèrement ;  reprenons l’habitude de nous rendre régulièrement sur la tombe de nos ancêtres pour les honorer (penser à eux, et parler d’eux aux plus jeunes).

Narcissisme.
Un peu comme le bon et le mauvais cholestérol, il y a le bon et le mauvais narcissisme. Le narcissisme est nécessaire dans les premiers temps de la vie pour permettre au jeune enfant de prendre possession de lui-même, et de jouir pleinement de la vie. Puis viennent les premières « blessures narcissiques » : se faire larguer par un premier amour, échouer à un examen… qui obligent à prendre un peu plus en compte la réalité, et les autres.
En excès, le narcissisme isole l’individu dans un monde imaginaire, et peut être la cause d’une grande souffrance.
La société occidentale consumériste encourage le narcissisme à outrance, en créant de toute pièce des « looks », en contraignant les adolescents à avoir des amis artificiels sur Facebook… Pour cette raison, le narcissisme est en partie une maladie de société.

Passage à l’acte.
Le fait d’avoir un geste violent envers quelqu’un ou soi-même : il peut s’agir d’un geste, mais aussi d’une parole, d’un regard, voire même d’un silence. Agression physique, sexuelle… dans laquelle la distance avec l’autre est souvent réduite. La pensée est court-circuitée, l’inconscient et la pulsion sont en jeu. C’est notre part sombre, ou notre animalité pure, qui s’exprime.

Pathologie (Cf. Diagnostic).
Maladie.

Père.
Il apporte la protection aux enfants, il pose les limites, et autorise ; il permet la confiance en soi : le fait de s’autoriser et d’être auteur. Il aide la mère à se séparer des enfants.

Peur.
Une émotion, réaction animale de survie, orientée vers la fuite (là où la colère oriente vers l’attaque). Le point de départ de l’angoisse, qui est elle-même le point de départ de toute la psychopathologie. L’expression et l’exploration des peurs enfouies est très féconde.

Pouvoir (Cf. Puissance personnelle, Toute-puissance).
Le pouvoir est un thème essentiel en psychologie et en philosophie. Lorsque l’affirmation de soi est suffisante, nous pouvons prendre le pouvoir sur les autres. Si le cadre est suffisamment bien posé, ce pouvoir est exercé sans abus. Mais la tendance naturelle du pouvoir, c’est de dériver vers l’abus. Dans la première partie de la vie, il est sans doute nécessaire de prendre le pouvoir. Dans la deuxième partie, il est bon d’abandonner le pouvoir aux autres, pour trouver sa puissance personnelle, et devenir roi.

Processus cognitifs.
Processus mentaux souvent inconscients par lesquels nous traitons et mémorisons les informations, qui nous parviennent par nos sens de perception.

Procrastiner.
Un mot amusant, un peu savant, pour désigner quelque chose que nous connaissons tous : cette fâcheuse tendance à toujours remettre au lendemain ce qui pourrait être fait le jour-même.

Puissance personnelle (Cf. Pouvoir, Toute-puissance).
Trouver sa puissance personnelle peut prendre de nombreuses années. Je sais enfin qui je suis, je sais comment je peux m’utiliser au mieux, et servir les autres sans heurts, sereinement. Je peux jouir de mes succès, les prévoir et les accomplir, m’en réjouir avec ceux que j’aime. Je me possède pleinement, j’entre dans la maitrise : je possède la force et l’affirmation.

Responsabilité.
La capacité à répondre de ses actes, de ses choix et décisions. La responsabilité prend aujourd’hui le sens de conscience écologique.

Santé.

Savoir (Saveur).
L’origine latine de savoir est : « avoir de la saveur ». Ce que nous savons, c’est aussi ce que nous goûtons, ce dont le goût nous est agréable. Il est donc normal d’avoir de la difficulté à retenir un savoir insipide.

Sens.
Ce mot est assez fabuleux puisqu’il a au moins 3 sens : ressenti (sensualité), signification, direction. Nous connaissons peu nos sens de perception.

Séparation.

Sexualité.

Solitude.
Un mal du siècle. Les causes sont multiples  : la dislocation géographique des familles, grâce aux progrès des transports, et dans une moindre mesure la pensée fantasmatique de la mobilité et du nomadisme, métaphores managériales dont chacun perçoit rapidement les limites. L’hétérogénéité sociale et les modes d’habitation conçus en dépit des besoins humains ont fortement dégradé le lien social que nous connaissions en France jusque dans les années ’70. Depuis le début des années 2000 (Coupe du monde ’98, Larzac 2003), le besoin de contact, de vie de groupe, de vie de quartier ou d’immeuble se fait plus visible.

Sur-sollicitation.
Un excès de sollicitation. De la télé et de la musique partout. Des outils de communication utilisés en dépit du bon sens (le mail et le téléphone portable, entre autres). Les pensées (une « petite voix », des images, de la musique, des sensations…) qui trottent en permanence dans la tête. Une première décision thérapeutique consiste à réduire ces sollicitations, et à se questionner sur la perméabilité, la dépendance, le besoin réel.

Système sympathique et parasympathique (Tension et Détente).
Le système nerveux sympathique prépare à l’action (musculaire par exemple), tandis que le système parasympathique gère le repos (la digestion notamment). Ces systèmes datent du temps où nous devions être prêts à fuir un prédateur. Nous n’avons plus de prédateurs, mais nous répondons toujours aux sollicitations extérieures, à des signaux de danger. Le système sympathique crée une tension, le système para- crée une détente. Le système sympathique n’est pas conçu pour rester actif longtemps. On comprend facilement que nous ne pouvons pas rester en tension en permanence. Si la détente ne se produit pas, l’organisme tombe malade. La capacité à se détendre est un thème central en thérapie.
Tension/Détente est le principe de base de la musique.

Tendresse.
La tendresse est de retour. Mettre de la tendresse dans nos actes, dans nos gestes, avec nos enfants, notre conjoint. Il y a cette part d’animalité à éprouver en nous, cette belle animalité tendre que nous observons chez les animaux envers leurs petits.

Travail.
Autrefois, le travail permettait à la fois la relation et le sens : développer un réseau de relations adultes, et donner un sens à sa vie, en relation avec la communauté. Aujourd’hui, les relations au travail sont souvent conflictuelles, le travail s’est vidé de son sens, et l’individu est confronté à sa liberté et sa conscience, ce qui est une opportunité historique… qui génère de l’angoisse.

Toute-puissance (Cf. Pouvoir, Puissance personnelle).
La toute-puissance (croyance en une puissance personnelle illimitée) empêche l’accès à la puissance personnelle (qui est bien-sûr limitée). C’est la source de grande souffrances. La sortie de la toute-puissance se fait normalement après l’adolescence, par des renoncements successifs.

Vie.

Violence (Cf. Appel à la violence).
Notre société occidentale est sans morale, donc sans éthique : source de grande violence. Les médias ressassent l’insécurité alors qu’ils participent à cette insécurité, en nous confrontant régulièrement à des contenus violents. Les parents s’inquiètent souvent de la violence et de la pornographie sur internet, mais ne voient pas la violence qu’ils subissent eux-même quotidiennement.
Les sources de violence sont innombrables : télévision, cinéma, Sécurité sociale, Pôle emploi, Impôts, Urssaf, employeurs, collègues, hiérarchique, conjoint, enfants, parents, grand-parents…
La communication non-violente (CNV)  fournit un premier niveau de protection contre la violence.

Violence conjugale.
Le couple est le lieu de régulation des violences subies à l’extérieur. Le couple est normalement constitué pour cela (il est plus facile d’encaisser en couple, que seul). Si le couple est en crise, il ne peut plus réguler, et devient lui-même un lieu de violence.
Certains couples se constituent sur des bases pathogènes, pour répondre à des processus familiaux inconscients, et jouer des rôles. La violence vient alors de l’intérieur du couple.

Vouloir.
Vouloir, pouvoir, savoir, avoir… s’opposent à Etre.

Chaque mot a un sens précis, sur lequel nous devons être d’accord lorsque nous l’utilisons dans l’échange avec l’autre. Ce glossaire a pour but d’éclaircir le néophyte sur les termes techniques usuel du champ psychologique, ainsi que des termes employés en biologie, écologie, sociologie et philosophie.

Certains mots se passent de commentaires : ils constituent des thèmes essentiels en psychothérapie.

Absence de sens (Cf. Sens)

Age.
Chaque âge de la vie apporte ses joies et ses peines. Dans la première partie de la vie, les troubles sont souvent liés à l’excès ; dans la seconde partie, ce sont les manques ou la mort qui questionnent l’individu.

Alcoolisme.

Amour.

Angoisse.
C’est le moteur de la vie. En excès, elle devient une gène. Le questionnement porte entre autres sur la fréquence, l’intensité, et les manifestations corporelles.

Alliance thérapeutique.
Lorsque le « courant » passe entre un thérapeute et un patient, ce qui ne veut pas dire pour autant complicité ou contact facile : ce phénomène subtil permet au patient de travailler dans les meilleurs conditions.

Appel à la violence.
Un comportement subtil chez soi qui pousse l’autre à devenir violent. C’est une forme de violence. Le patient sera invité à quitter progressivement ce type de comportement, après en avoir compris les motivations.

Avoir.
Posséder apporte de la sécurité. La sécurité est un besoin fondamental. Posséder en excès devient maladif. C’est un des maux courants de notre société.

Bonheur.
Un des nombreux objectifs d’une psychothérapie réussie.

Culpabilité (Culpabilisation, Dé-culpabilisation, Dé-responsabilisation).
Un sentiment très humain, mais aussi très néfaste et destructeur. Coupable ou responsable ? Notre société a tendance à nous déresponsabiliser (école, entreprise, consommation…) : la thérapie peut aider à retrouver ses responsabilités et à les assumer.

Déni.
Chacun de nous est ombre et lumière. Chacun de nous possède une face cachée, une part d’ombre. En général, nous acceptons difficilement de voir cette part d’ombre. La thérapie permet d’éclairer les ténèbres, et de mieux accepter ses défauts.

Dépression.
La dépression est utile pour passer d’un état à un autre. Par exemple, elle est naturelle chez l’adolescent qui se transforme en profondeur. Si la dépression s’installe, il faut prendre le temps de la soigner. Certaines dépressions doivent être traitées par médicaments et être suivies par un médecin.

Enfance.

Esthétique (Esthésie).

Ethique.
Ce qui guide nos comportements : notre système de valeurs. Lorsque nous élaborons une éthique personnelle, nous sommes prêts à partager avec d’autres.

Etre.
Nous sommes. Ce verbe est plus difficile à comprendre que le verbe Avoir.

Excès

Force

Impassience

Liberté (-> responsabilité)

Morale

Morbidité

Mort

Narcissisme (favorable et en excès)

Passage à l’acte

Pathologie

Pouvoir (-> Puissance personnelle, Toute-puissance)

Processus cognitif

Procrastiner.
Un mot amusant, un peu savant pour désigner quelque chose que nous connaissons tous : cette fâcheuse tendance à toujours remettre à plus tard ce qui pourrait être fini rapidement.

Puissance personnelle

Responsabilité

Santé

Savoir, saveur

Sens (triple sens : ressenti, signification, direction), sensualité

Sexualité

Solitude

Sur-sollicitation

Système sympatique et para-sympatique

Toute-puissance

Vie

Violence -> appel à la violence

Violence conjugale

Vouloir